C’est officiel : les élections municipales et communautaires se tiendront les 15 et 22 mars 2026.

C’est officiel : les élections municipales et communautaires se tiendront les 15 et 22 mars 2026.

Deux week-ends qui mobiliseront élus, électeurs et tout le personnel présent dans les bureaux de vote.

Comme à chaque scrutin, Seban Avocats sera aux côtés des communes et les accompagnera grâce à ses permanences électorales : une hotline dédiée disponible tout au long des deux week-ends électoraux.
Nous aurons l’occasion d’y revenir plus en détail prochainement à travers une nouvelle communication.

En attendant, rappelons qu’à compter du 1er septembre 2025, la période de réserve électorale s’ouvre : la prudence est donc de mise dans la communication institutionnelle des collectivités.

Nos équipes restent pleinement mobilisées pour vous accompagner tout au long de cette période.
N’hésitez pas à nous suivre ou à prendre rendez-vous avec nos avocats.

Présence de Seban Avocats aux Rendez-vous Budgétaires de l’URIOPSS Ile-de-France

Audrey Lefèvre, avocate associée, Sara Ben Abdeladhim, avocate directrice et Esther Doulain, avocate à la Cour seront présentes aux Rendez-vous Budgétaires de l’URIOPSS Ile-de-France qui se dérouleront le 11 septembre 2025 de 8h30 à 17h à Paris.

A cette occasion, elles coanimeront une table ronde à 14h30 sur le thème « Les différentes formes de rapprochement et leurs enjeux majeurs ».

Cette table ronde portera sur les différentes formes de rapprochement les plus courantes entre structures des champs des solidarités et de la santé, toutes répondant à des besoins spécifiques.
Les échanges autour de ces modalités de rapprochement porteront notamment sur les enjeux liés à la tarification, aux autorisations, aux impacts fiscaux et immobiliers souvent décisifs dans les dynamiques de regroupement.
Cette table ronde permettra de mieux comprendre les paramètres juridiques, économiques et organisationnels à anticiper pour mener à bien une stratégie de rapprochement.

 

Informations sur l’événement

 

Vous souhaitez contacter nos avocates sur le sujet ?

Audrey Lefèvre

avocate associée

alefevre@seban-avocat.fr

Sara Ben Abdeladhim

avocate directrice

sbenabdeladhim@seban-avocat.fr

Esther Doulain

avocate à la Cour

edoulain@seban-avocat.fr

 

Points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026.

À un an des élections municipales, la période pré-électorale soulève de nombreuses questions juridiques pour les élus locaux, les collectivités territoriales, et en premier lieu les communes et les EPCI, les candidats et tous les acteurs publics.

C’est pourquoi les avocats du Cabinet vous proposent des préconisations utiles et des points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026, tous les jeudis jusqu’à la fin de l’année 2025. Chaque semaine, un sujet en lien avec la période pré-électorale sera traité : inéligibilités, devoir de réserve, outils de communication institutionnelle, commande publique et droit électoral, manifestations publiques, consultation des électeurs en matière d’aménagement, données personnelles des électeurs et des élus.

Retour sur les 4 sujets traités au mois de juin :

Diffamation des élus : oui à la polémique, non à la dénaturation.

Michael GOUPIL, avocat Of Counsel en droit pénal et des la presse et Badreddine HAMZA, avocat à la Cour en droit pénal et de la presse.


Analyse de jurisprudence : de la liberté d’expression à la révocation.

Marjorie Abbal , avocate associée en fonction publique.


Protection des données personnelles et droit des électeurs.

Inès Marcenat, avocate à la Cour en droit des données.


Opérations d’aménagement : réussir sa procédure de participation du public en période préélectorale, réflexes et points de vigilance.

Emmanuelle Baron-Masurel et Pierre Laffitte, avocats directeurs en urbanisme, aménagement et foncier.

 

Lire les articles
_____
A venir sur le mois de juillet, les expertises d’Elise Humbert, Marie-Hélène Pachen-Lefèvre et Marianne Hauton : abonnez-vous à leurs profils !

 

L’ensemble de ces posts seront ensuite republiés directement sur notre page à la fin de chaque mois.

Nomination de trois nouveaux associés chez SEBAN AVOCATS

SEBAN AVOCATS annonce la nomination de Marianne Hauton, Tadjdine Bakari-Baroini et Samuel Couvreur en tant qu’associés. Collaborateurs fidèles du Cabinet, ils incarnent l’engagement, l’expertise et les valeurs d’accompagnement des acteurs publics portés par SEBAN AVOCATS. Leurs nominations viennent renforcer des pôles stratégiques : « Contrats publics / Droit de l’énergie », « Action et stratégie foncière », ainsi que « Contrats publics / Services publics environnementaux
et Culture ».

Marianne Hauton, nommée associée du secteur « Contrats publics / Droit de l’énergie ».

Avocate au barreau de Paris depuis 2012, Marianne Hauton est diplômée du Master II Contentieux Public (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), du Master II Droit Public Approfondi (Université Paris II Panthéon-Assas) et de l’Institut de Droit Public des Affaires (IDPA). Elle a rejoint le Cabinet en 2016 pour intégrer le pôle énergie piloté par Marie-Hélène Pachen-Lefèvre.

Depuis, elle accompagne les acteurs publics dans leurs projets énergétiques au stade de leur structuration, de leur contractualisation ainsi que dans le suivi de leur mise en oeuvre. Ces projets concernent en particulier les énergies renouvelables (production en particulier), la gestion des réseaux de distribution ou encore l’approvisionnement énergétique. Directrice du pôle depuis 2022, elle devient aujourd’hui associée afin de poursuivre le développement de cette activité en constante évolution qui nécessite un suivi particulièrement fin des évolutions normatives, une appétence pour la dimension technique et requiert de l’agilité pour identifier des solutions pragmatiques et sécurisées.

Marianne Hauton est également engagée dans la politique RH du cabinet, en tant que membre du comité dédié.


Tadjdine Bakari-Baroini, nommé associé du secteur « Action et stratégie foncière ».

Avocat au barreau de Paris depuis 2012, Tadjdine BAKARI-BAROINI est diplômé du Master II Droit immobilier public de l’Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines. Il rejoint SEBAN AVOCATS en 2017 au sein du pôle Urbanisme, Aménagement, Foncier, et devient directeur du secteur « Action foncière » en 2021 aux côtés de Céline Lherminier.

Il accompagne les collectivités et établissements publics dans tous les domaines liés à l’action et la stratégie foncière et, plus particulièrement, à la mise en oeuvre des prérogatives de puissances publiques permettant une appropriation du foncier pour des projets servant l’intérêt public : expropriations, préemptions, droit de priorité, ou encore maîtrise foncière pour des opérations d’aménagement, de renouvellement urbain ou de grands projets.

Tadjdine Bakari-Baroini devient aujourd’hui associé du pôle « Action et stratégie foncière » et intervient à la fois devant les juridictions administratives et judiciaires, et dispose d’une expertise reconnue dans l’exécution opérationnelle de ces procédures. Il est également engagé dans le développement du Cabinet, en tant que membre du comité Doctrine.


Samuel Couvreur, nommé associé du secteur « Contrats publics / Services publics Environnementaux et Culture ».

Diplômé du Master II de Droit Public des Affaires (Lyon III) et d’un diplôme universitaire en droit de l’intégration européenne, Samuel Couvreur rejoint
SEBAN AVOCATS suite à sa prestation de serment en 2012.

Il intervient, tant en conseil qu’en contentieux, et assiste les collectivités et acteurs publics en matière de passation et d’exécution des contrats publics
et plus largement dans les questions liées à la gestion des services publics. Il intervient également en domanialité, aide d’État, et droit des structures
parapubliques (associations, SEM, SPL, …). Samuel Couvreur fait preuve de pragmatisme, d’une grande capacité d’écoute et de synthèse et d’une
compétence solide en négociations. Il est expert dans les domaines des services publics environnementaux (déchets, eau, réseaux de chaleur) et des politiques de gestion des équipements culturels.

Basé au bureau de Lyon depuis 2020 et directeur depuis 2021 aux côtés de Guillaume Gauch, il devient aujourd’hui associé et co-dirigera avec Philippe
Guellier le bureau de Lyon pour poursuive le développement et l’ancrage de SEBAN AVOCATS en région Auvergne-Rhône-Alpes.


 

 

« Ces nominations s’inscrivent dans la continuité de notre stratégie de développement, portée par l’excellence, la transmission et l’engagement. Elles illustrent notre volonté de structurer durablement le Cabinet autour de professionnels expérimentés, capables d’apporter des réponses à la hauteur des enjeux juridiques de nos clients.« 

Marie-Hélène Pachen-Lefèvre, avocate associée et Présidente de SEBAN AVOCATS

 

 

Télécharger le communiqué de presse

Conférence de presse 30 juin 2025 – Sabine Dumont

Sabine Dumont, 9 ans, est enlevée, violée et tuée à Bièvres (Essonne) le 27 juin 1987. Cela fait plus de 38 ans que la famille de la petite fille espère l’arrestation du meurtrier de Sabine.

Ce lundi 30 juin, s’est tenue une conférence de presse au Cabinet Seban Avocats. Didier Seban et Marine Allali, avocats de la famille de Sabine Dumont ainsi que les frère et sœurs de Sabine étaient présents. Lors de cette conférence, ils ont annoncé que la généalogie génétique allait être utilisée dans l’enquête, une technique utilisée par les Etats-Unis.

À partir de la trace d’ADN retrouvée sur les vêtements de la petite Sabine, la généalogie génétique consiste à retrouver un proche dans les bases de données américaines afin de remonter son arbre généalogique et identifier l’auteur de la trace.

Il faut changer la loi pour que cette technique puisse être utilisée en France, nous nous y employons.

Lire l’article sur RTL

Voir l’article sur BFM TV

Lire l’article sur Le Nouvel Obs

______________

Vous souhaitez contacter nos avocats sur le sujet ?

Didier Seban

avocat associé

dseban@seban-avocat.fr

Marine Allali

avocate directrice

mallali@seban-avocat.fr

Antoine Sauvestre-Vinci

avocat à la Cour

asauvestrevinci@seban-avocat.fr

Olivier Le Gall

Chargé de mission

olegall@seban-avocat.fr

 

Nuit des relais – Fondation des femmes

Après une collecte organisée en interne pour soutenir les actions de la Fondation des Femmes, 9 coureuses et coureurs de Seban Avocats ont relevé le défi de se relayer toutes les 5 minutes lors d’une course effrénée pour la Nuit des Relais organisée par la Fondation !

Nos coureurs ont fait un résultat incroyable, ils sont arrivés 8ème sur 208 équipes !

Évidemment, nos coureurs n’étaient pas seuls : des supporteurs du Cabinet étaient présents pour les encourager ! Félicitations à tous pour cette belle action !

Nos coureurs :

Chloé Brendel, David Conerardy, Elise Humbert, Ella Marc von Krause, Inès Marcenat, Julie Oger, Justine Codjia, Marguerite Saurel et Samy ALLI.

Nos supporteurs :

Guillaume Gauch, Jennifer GIFFE, Saadia EL KHAMLICHI – MOHAMED AHMED, Ornella Métaireau, Timothée Sauron
____________________

 

Qu’est-ce que la Fondation des femmes ?

Depuis la création de la Fondation des Femmes en 2016, près de 500 projets associatifs ont été soutenus, permettant à des centaines de milliers de femmes victimes de violences ou en situation de précarité, d’être aidées et accompagnées par des expertes.

En savoir plus sur la Fondation des femmes

Présence de Seban Avocats aux Assises européennes de la transition énergétique

Marianne Hauton, avocate, étaient présente aux Assises européennes de la transition énergétique, les 24 et 25 juin à Strasbourg.

À cette occasion, Marianne Hauton est intervenue aux côtés de Territoire d’énergie Loire-Atlantique (TE44), Nantes Métropole et le Collectif Energie, lors d’un atelier dédié aux Contrats d’achats directs d’énergies renouvelables conclus récemment par 7 acheteurs de Loire-Atlantique, le mardi 24 juin.

Vous souhaitez contacter Marianne Hauton sur le sujet ?

Marianne Hauton

avocate associée

mhauton@seban-avocat.fr

 

Calendrier de l’installation des délégués des syndicats de communes et des syndicats mixtes

Les élections municipales se tiendront en mars 2026 et les dates précises seront annoncées par décret au moins 3 mois avant le scrutin

Dans les faits, l’annonce peut arriver avant la date butoir.

  • Pour le scrutin de mars 2020, l’annonce avait été faite par un communiqué du ministère de l’intérieur en juillet 2019 et le décret avait été signé en conseil des ministres le 4 septembre 2019 !

Pour rappel, la désignation des conseillers communautaires a lieu :

  • Dans les communes de plus de 1 000 habitants et plus, au suffrage universel direct via un système de fléchage (article L. 273-9 du Code électoral)
    • L’électeur désigne ainsi le même jour sur le même bulletin de vote les élus de sa commune et ceux de l’intercommunalité.
  • Dans les communes de moins de 1 000 habitants, dans l’ordre du tableau (article L. 273-11 du code électoral)
    • Ils ne seront donc connus qu’à l’issue de la première séance du conseil municipal consacrée à l’élection du maire et des adjoints (qui doit se tenir au plus tôt le vendredi et au plus tard le dimanche suivant le premier tour du scrutin si le conseil a été élu au complet, sinon au plus tôt le vendredi et au plus tard le dimanche suivant le second tour du scrutin conformément à l’article L. 2121-7 du CGCT). Le tableau du conseil municipal est transmis au préfet au plus tard à 18 h le lundi suivant l’élection du maire et des adjoints. Est également adressée au préfet, dans les mêmes délais, la liste des conseillers communautaires (article R. 2121-2 du CGCT).

Elus au scrutin uninominal secret à la majorité absolue ou relative en cas de 3ème tour du scrutin

Une fois que les conseillers municipaux sont élus, il convient de désigner les délégués dans les organismes extérieurs et notamment dans les syndicats de communes.

La règle : Après le renouvellement général des conseils municipaux, l’organe délibérant du syndicat se réunit au plus tard le vendredi de la quatrième semaine qui suit l’élection des maires (article L. 5211-8 du CGCT)

Autrement dit les conseils municipaux désignent les délégués qui siègent dans les comités syndicaux dans les meilleurs délais  pour permettre une réunion du comité syndical au plus tard le vendredi de la 4ème semaine qui suit l’élection des maires.

A défaut pour une commune d’avoir désigné ses délégués, cette commune est représentée au sein de l’organe délibérant du syndicat de communes par le maire si elle ne compte qu’un délégué, par le maire et le premier adjoint dans le cas contraire. L’organe délibérant est alors réputé complet.

Une fois que les présidents des EPCI à fiscalité propre et des syndicats de communes sont élus, il convient de désigner les délégués au sein des syndicats mixtes.

S’agissant de la désignation des représentants dans les syndicats mixtes dits fermés (SMF), ici une stricte application de l’article L. 5211-8 du CGCT conduirait à imposer la désignation des délégués d’un syndicat mixte fermé dans le même délai que les délégués des syndicats de communes. Selon la doctrine de l’Etat « Une telle interprétation ne peut être retenue car elle viderait de son sens cette disposition à l’égard des membres du SMF, en limitant, en amont le temps que leur impartit la loi pour procéder à l’installation de leurs propres organes délibérants et à l’élection de leurs présidents et de leurs bureaux » => Ainsi la première réunion de l’organe délibérant d’un SMF devra se tenir au plus tard le vendredi de la 4ème semaine qui suivra l’élection de l’ensemble des membres (communes, syndicats de communes ou EPCI à fiscalité propre) du SMF.

A défaut pour un membre d’avoir désigné ses délégués, il est représenté au sein de l’organe délibérant du SMF par le maire ou le président si il ne compte qu’un délégué, par le maire ou le président et le premier adjoint ou le 1er VP dans le cas contraire. L’organe délibérant est alors réputé complet.

Elus selon les modalités fixées par les statuts du SMO ou à défaut par ses membres

S’agissant de la désignation des représentants dans les syndicats mixtes dits ouverts (SMO), l’article L. 5211-8 du CGCT ne leur est pas applicable (sauf à ce que leurs statuts renvoient à l’application de cette disposition).

Cependant, les membres des SMO dont l’organe délibérant a été renouvelé à l’issue du scrutin municipal et intercommunal ont intérêt a désigné leurs délégués au plus tôt afin de réduire au maximum la période des affaires courantes. Le délai débutera à l’issue de l’élection des maires et des présidents des EPCI ou syndicats mixtes qui composent le SMO.

Présence de SEBAN AVOCATS au 85e Congrès HLM

Anne-Christine Farçat, Eglantine Enjalbert, Didier Seban et Thomas Rouveyran, avocats associés ainsi que Joanna Henri-Luyton, avocate, seront présents au 85e Congrès HLM, qui se déroulera du 23 au 25 septembre 2025 sur le thème

« Les qualités du logement social »

______________

Informations sur l’évènement :

Porte de Versailles, Paris
Du 23 au 25 septembre 2025

 

 

Informations et inscription

______________

Vous souhaitez contacter nos avocats sur le sujet ?

Anne-Christine Farçat

avocate associée

acfarcat@seban-avocat.fr

Eglantine Enjalbert

avocate associée

eenjalbert@seban-avocat.fr

Didier Seban

avocat associé

dseban@seban-avocat.fr

Thomas Rouveyran

avocat associé

trouveyran@seban-avocat.fr

Joanna Henri-Luyton

avocate

jhenriluyton@seban-avocat.fr

23 ans après : qui a tué Mickaël Jouis ? Le point de vue de Didier Seban – Le Figaro TV

Le 25 juin 2002, Mickaël Jouis, un jeune homme de 25 ans, est retrouvé sans vie dans une station d’épuration, à proximité de son domicile, dans le Maine-et-Loire. Rapidement classée comme accidentelle, l’affaire est restée dans l’ombre pendant plusieurs années. Les causes et circonstances de sa mort sont plus que troublantes.

Une disparition tragique et inexpliquée, pour la famille de Mickaël, l’hypothèse d’un accident n’a jamais été crédible. C’est 23 ans plus tard et après un non-lieu prononcé, que la justice a décidé de rouvrir l’enquête sur la base de nouveaux témoignages.

Dans une interview accordée à Le Figaro TV, Maître Didier Seban, avocat de la famille de Mickaël, revient sur les éléments qui justifient cette décision.

Le Procureur de la République d’Angers a reçu ce mercredi la famille Jouis accompagnée de Marine Allali et Didier Seban et n’a pas écarté la possibilité détendre la reprise l’enquête ce que la famille demande depuis de nombreux années.

Retrouvez l’interview sur Le Figaro TV : « 23 ans après : qui a tué Mickaël Jouis ? Le point de vue de Didier Seban »

Voir la vidéo

Lexflash – Rupture conventionnelle dans la fonction publique : ce qu’il faut savoir 

Dans cet épisode de Lexflash, Marjorie Abbal fait le point sur un dispositif encore relativement récent dans la sphère publique : la rupture conventionnelle dans la fonction publique.

Elle revient sur les contours juridiques et les enjeux pratiques de cette procédure inspirée du secteur privé.

Au programme :

Qui peut bénéficier de la rupture conventionnelle dans la fonction publique ?

  • Quelles sont les étapes clés de la procédure ?
  • Quelle indemnisation et quels droits à l’allocation chômage ?
  • Quels risques ou points de vigilance pour l’agent comme pour l’administration ?

En quelques minutes, cet épisode vous offre une synthèse claire, rigoureuse et accessible. Que vous soyez fonctionnaire, contractuel, DRH, juriste, ou étudiant, cette vidéo vous apportera des réponses concrètes.

Points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026.

À un an des élections municipales, la période pré-électorale soulève de nombreuses questions juridiques pour les élus locaux, les collectivités territoriales, et en premier lieu les communes et les EPCI, les candidats et tous les acteurs publics.

C’est pourquoi les avocats du Cabinet vous proposent des préconisations utiles et des points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026, tous les jeudis jusqu’à la fin de l’année 2025. Chaque semaine, un sujet en lien avec la période pré-électorale sera traité : inéligibilités, devoir de réserve, outils de communication institutionnelle, commande publique et droit électoral, manifestations publiques, consultation des électeurs en matière d’aménagement, données personnelles des électeurs et des élus.

Retour sur les 3 premiers sujets traités au mois de mai :

Le bilan de mandat : un exercice périlleux.

Alexandra Aderno, avocate associée en vie des acteurs publics, droit des données et droit électoral et Adam BENAMEUR, élève-avocat.

Le droit de réserve en période pré-électorale.

Lorène Carrère avocate associée en fonction publique.

La passation des contrats publics en période pré-électorale.

Samuel Couvreur, avocat directeur en contrats publics.

Lire les articles
_____
A venir sur le mois de juin, les expertises de Michaël Goupil et Badreddine HAMZA, Marjorie Abbal , Inès Marcenat, Emmanuelle Baron-Masurel et Pierre Laffitte : abonnez-vous à leurs profils !

 

L’ensemble de ces posts seront ensuite republiés directement sur notre page à la fin de chaque mois.

Seban Avocats était présent à l’HydroExpo ainsi qu’au salon CYCL’EAU !

Les avocats Seban Avocats étaient présents à l’HydroExpo « le salon dédié à l’entretien et à l’aménagement des milieux aquatiques » ainsi qu’au salon CYCL’EAU Nouvelle Aquitaine, les 21 et 22 mai 2025.

À cette occasion, Marlène JOUBIER, avocate associée, et Julie Cazou, avocate à la Cour, ont animé une conférence sur « la responsabilité des élus et des collectivités en cas de phénomènes d’inondation » à l’HydroExpo.

Clémence du Rostu, avocate directrice, est également intervenue lors d’une conférence sur le thème de « la qualité de l’eau » au salon CYCL’EAU.

Ces interventions s’inscrivent dans l’action continue de Seban Avocats, qui dispose d’une équipe spécialisée accompagnant les collectivités dans tous les aspects de la gestion de l’eau, qu’il s’agisse du petit ou du grand cycle.

 

Aucune description alternative pour cette image

 


Vous souhaitez contacter nos équipes qui étaient sur place ?

Benoit Roseiro

avocat associé

broseiro@seban-avocat.fr

Marlène Joubier

avocate associée

mjoubier@seban-avocat.fr

Clémence du Rostu

avocate directrice

cdurostu@seban-avocat.fr

Julie Cazou

avocate à la Cour

jcazou@seban-avocat.fr

Sophie Höfler

avocate à la Cour

shoefler@seban-avocat.fr

Première contractualisation d’un CADER (Power Purchase Agreement, PPA) public multi acheteurs !

Le Cabinet Seban Avocats est fier d’avoir accompagné au plan juridique ce projet novateur et engagé porté par un groupement de commandes piloté par Territoire d’énergie Loire-Atlantique (TE44), Nantes Métropole et la Ville de Nantes et également constitué de deux EPCI à fiscalité propre et deux SEM de Loire Atlantique.

Initié dans la foulée de l’adoption de la loi APER du 10 mars 2023 qui a introduit les CADER en droit interne, le projet « CADER 44 » permet aux 7 entités acheteuses de sécuriser sur 20 ans la part de leur approvisionnement électrique faisant l’objet du CADER auprès de producteurs d’énergie renouvelable.

De surcroit, les installations de production des lauréats des deux lots (éolien et photovoltaïque) étant situées en Loire Atlantique, le projet va permettre un approvisionnement en circuit court et local.

Au plan juridique, le projet était particulièrement stimulant puisqu’il s’agissait de mettre en œuvre un nouveau type de contrat, qui plus est, dans le contexte d’un groupement de commandes.

Le Cabinet Seban Avocats, Marie-Hélène Pachen-Lefèvre et Marianne Hauton remercient les collectivités ayant porté le projet pour la confiance qu’elles leur ont accordée et se réjouissent de cette belle réussite collective.

En savoir plus

Préconisations utiles et de points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026

À un an des élections municipales, la période pré-électorale soulève de nombreuses questions juridiques pour les élus locaux, les collectivités territoriales, et en premier lieu les communes et les EPCI, les candidats et tous les acteurs publics.

C’est pourquoi les avocats du Cabinet vous proposent des préconisations utiles et des points d’actualités juridiques autour des élections municipales de 2026, tous les jeudis jusqu’à la fin de l’année 2025. Chaque semaine, un sujet en lien avec la période pré-électorale sera traité : inéligibilités, devoir de réserve, outils de communication institutionnelle, commande publique et droit électoral, manifestations publiques, consultation des électeurs en matière d’aménagement, données personnelles des électeurs et des élus.

Pour être sûrs de retrouver les expertises de Marie-Hélène Pachen-Lefèvre, Lorène Carrère , Marjorie Abbal , Alexandra Aderno, Michaël Goupil, Clémence du Rostu, Tadjdine BAKARI-BAROINI, Samuel Couvreur, Marianne Hauton, Elise Humbert, Emmanuelle Baron-Masurel, Margaux Davrainville, Pierre Laffitte, Agathe Delescluse, David Conerardy, Badreddine HAMZA, Inès Marcenat et Adam BENAMEUR : abonnez-vous à leurs profils !

L’ensemble de ces posts seront ensuite republiés directement sur notre page à la fin de chaque mois.

Suivez-nous sur LinkedIn 

Distinctions de SEBAN AVOCATS – Décideurs Contentieux & Arbitrage 2025

Seban Avocats, premier cabinet d’avocats dédié aux acteurs publics et à l’économie sociale et solidaire a été distingué dans le guide DÉCIDEURS JURIDIQUES Contentieux & Arbitrage 2025  !

 

Forte Notoriété :

  • Droit pénal des affaires : Didier Seban, Matthieu Hénon et Marlène Joubier.

 

Cette distinction vient confirmer le positionnement de notre Cabinet qui regroupe aujourd’hui plus de 100 avocats pour fournir le meilleur service ainsi qu’un accompagnement opérationnel et efficace à ses clients.

 

Retrouvez nos classements ici

Présence de SEBAN AVOCATS à l’Hydro Expo le 21 mai

Marlène Joubier, avocate associée en droit pénal de l’environnement et Julie Cazou, avocate à la Cour du pôle environnement, seront présentes à l’Hydro Expo, le salon dédié à l’entretien et à l’aménagement des environnements aquatiques, qui se déroulera les 21 et 22 mai 2025.
Dans ce cadre, elles animeront une conférence le mercredi 21 mai 2025 à 11h30 sur :

« La responsabilité des élus et des collectivités lors de phénomènes d’inondations »

______________

Informations sur l’évènement :

 Site Nautique de Vaires – Torcy à Marne-la-Vallée, Seine-et-Marne
Les 21 et 22 mai 2025

 

 

Informations et inscription

______________

Vous souhaitez contacter nos avocats sur le sujet ?

Marlène Joubier

avocate associée

mjoubier@seban-avocat.fr

Julie Cazou

avocate à la Cour

jcazou@seban-avocat.fr

 

Webinaire « Dérogation « Espèce protégées : Actualités » » – 5 juin 2025

L’obtention de dérogations « espèces protégées » et le contrôle qui en est fait rencontrent une actualité de plus en plus forte tant sur le plan administratif que pénal. L’importance de prendre en compte la présence de ces espèces pour faire aboutir des projets respectueux de l’environnement en fait un enjeu primordial pour ceux qui les portent.

A l’occasion de la journée de l’environnement, Seban Avocats propose dès lors un webinaire au cours duquel les avocates expertes sur ce sujet présenteront les dernières actualités marquantes sur le thème :
« Dérogation « Espèce protégées : Actualités ».

Informations :

Jeudi 5 juin de 14h30 à 15h30 ;
Gratuit ;
En visioconférence.

Inscription

Avec comme intervenantes :

Marlène Joubier

avocate associée

mjoubier@seban-avocat.fr


Clémence Du Rostu

avocate directrice

cdurostu@seban-avocat.fr


Emmanuelle Baron

avocate directrice

ebaron@seban-avocat.fr

 

Présence de SEBAN AVOCATS à la journée d’anniversaire des 90 ans du SIGERLy

Marie-Hélène Pachen-Lefèvre et Philippe Guellier, avocats associés seront présents à la journée d’anniversaire des 90 ans du SIGERLy, qui se tiendra le lundi 10 juin à Irigny, au sud de Lyon.

A cette occasion, Marie-Hélène Pachen-Lefèvre interviendra lors de la table ronde programée de 17h30 à 18h30, sur le thème :

« Quel rôle pour un syndicat d’énergie comme le SIGERLy dans les décennies à venir ? »

Cette rencontre a pour ambition de faire émerger les grands enjeux énergétiques, environnementaux et institutionnels de demain, et de réfléchir collectivement à la manière dont un syndicat comme le SIGERLy pourra y répondre.

______________

Informations sur l’évènement :

Centre culturel Champvillard à Irigny

10 juin 2025

______________

Vous souhaitez contacter nos avocats sur le sujet ?

Marie-Hélène Pachen-Lefèvre

avocate associée

mhpachenlefevre@seban-avocat.fr

Philippe Guellier

avocat associé

pguellier@seban-avocat.fr

Notre équipe

 

Composition des conseils communautaires : Attention à la date butoir du 31 août 2025 !

D’ici le 31 août 2025, les communes devront avoir déterminé la répartition des sièges du conseil communautaire pour les élections de 2026. 

1. La répartition des sièges en application d’un accord local

Dans les communautés de communes et les communautés d’agglomération, le nombre de sièges du conseil communautaire et leur répartition peut être fixés par accord local dans les conditions prévues au 2° du I de l’article L. 5211-6-1 du CGCT.

Plus précisément le 2° du I de l’article L. 5211-6-1 du CGCT prévoit que le nombre et la répartition des sièges de conseiller communautaire peut être fixé par accord des deux tiers au moins des conseils municipaux des communes membres représentant plus de la moitié de la population de celles-ci ou de la moitié au moins des conseils municipaux des communes membres représentant plus des deux tiers de la population de celles-ci. Cette majorité doit, en outre, comprendre le conseil municipal de la commune dont la population est la plus nombreuse, lorsque celle-ci est supérieure au quart de la population des communes membres.

L’accord doit, également, respecter les règles suivantes :

  • Le nombre total de sièges répartis entre les communes ne peut excéder de plus de 25 % celui qui serait attribué en application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT (cf. développements ci-après) ;
  • Les sièges doivent être répartis en fonction de la population municipale de chaque commune et chaque commune doit disposer d’au moins un siège ;
  • Aucune commune ne peut disposer de plus de la moitié des sièges.

Quant à la répartition des sièges, elle ne peut s’écarter de plus de 20 % de la proportion de la population de la commune dans la population globale, sauf deux exceptions :

  • Lorsque la répartition effectuée en application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT conduirait à ce que la part des sièges attribuée à une commune s’écarte de plus de 20 % de la proportion de sa population dans la population globale et que la répartition effectuée par l’accord maintient ou réduit cet écart ;
  • Lorsque deux sièges seraient attribués à une commune pour laquelle la répartition effectuée en application du 1° du IV conduirait à l’attribution d’un seul siège.

A défaut d’accord local, les communes peuvent tout de même créer et répartir un nombre de sièges supplémentaires inférieur ou égal à 10 % du nombre total de sièges issu de l’application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT (cf. développements ci-après). Cette possibilité est également ouverte aux communautés urbaines et aux métropoles.

 

2. La répartition des sièges en application du droit commun

En application des règles de droit commun et en l’absence d’accord local adopté dans les délais prévus par la loi, le conseil communautaire est recomposé selon les modalités prévues aux III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT en partant d’un effectif de référence défini au III de l’article L. 5211-6-1 du CGCT par rapport à la population de l’EPCI, l’objectif étant d’assurer :

  • Une représentation des communes essentiellement démographique ;
  • Une représentation de l’ensemble des communes membres de l’EPCI.

Ainsi, les sièges correspondant à la strate démographique de l’EPCI (au regard du tableau figurant au III de l’article L. 5211-6-1 du CGCT) sont répartis entre ses communes membres à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne[5].

A l’issue de cette opération, les communes n’ayant obtenu aucun siège se voient attribuer un siège afin d’assurer leur représentation au sein de l’EPCI[6].

Aucune commune membre ne peut obtenir plus de la moitié des sièges au sein de l’organe délibérant. Si une commune obtient plus de la moitié des sièges de l’organe délibérant seul un nombre de sièges portant le nombre total de ses conseillers communautaires à la moitié des sièges de l’organe délibérant, arrondie à l’entier inférieur, lui est finalement attribué. Les sièges non attribués sont ensuite répartis entre les autres communes suivant la règle de la plus forte moyenne en fonction de leur population[7].

En outre, le nombre de conseillers communautaires d’une commune ne peut être supérieur à celui de ses conseillers municipaux. Si le nombre de sièges attribués à une commune est supérieur à celui de ses conseillers municipaux, le nombre total de sièges au sein de l’organe délibérant est réduit à due concurrence du nombre de sièges nécessaire pour que, à l’issue d’une nouvelle application des points précédents, cette commune dispose d’un nombre total de sièges inférieur ou égal à celui de ses conseillers municipaux[8].

Enfin, en cas d’égalité de la plus forte moyenne entre des communes lors de l’attribution du dernier siège, chacune de ces communes se voit attribuer un siège[9].

En application du V de l’article L. 5211-6-1 du CGCT, dans les communautés de communes, les communautés d’agglomération et les communautés urbaines, si le nombre de sièges attribués sur le fondement du 2° du IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT (il s’agit du siège automatiquement attribué aux communes ne disposant d’aucun représentant à l’issu de la répartition à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne), représente plus de 30 % des sièges définis dans le tableau figurant au III de l’article L. 5211-6-1 du CGCT, un nombre de sièges supplémentaires correspondant à 10 % du nombre total de sièges issus de l’application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT sont attribués aux communes selon les modalités prévues au IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT décrites ci-avant.

Dans ce cas, il ne pourra être fait usage de la possibilité de créer et répartir un nombre de sièges supplémentaires inférieur ou égal à 10 % du nombre total de sièges issus de l’application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT.

En effet, le VI de l’article L. 5211-6-1 du CGCT prévoit pour les communautés urbaines, les métropoles ainsi que les communautés de communes et les communautés d’agglomération dans lesquelles aucun n’accord local n’aura pu être adopté, la possibilité de créer et de répartir un nombre de sièges supplémentaires inférieur ou égal à 10 % du nombre total de sièges issu de l’application des III et IV de l’article L. 5211-6-1 du CGCT et ce dans les mêmes conditions que celles applicables dans le cadre de l’accord locale pour les communautés de communes et les communautés d’agglomération (à savoir à la majorité des deux tiers au moins des conseils municipaux des communes membres représentant plus de la moitié de la population de celles-ci ou l’inverse ; cette majorité devant, en outre, comprendre le conseil municipal de la commune dont la population est la plus nombreuse, lorsque celle-ci est supérieure au quart de la population des communes membres).

Là encore, la part globale de sièges attribuée à chaque commune en application des III, IV et VI de l’article L. 5211-6-1 du CGCT ne pourra s’écarter de plus de 20 % de la proportion de sa population dans la population globale des communes membres, sauf :

  • Lorsque la répartition effectuée en application des III et IV conduirait à ce que la part de sièges attribuée à une commune s’écarte de plus de 20 % de la proportion de sa population dans la population globale et que l’attribution effectuée en application du présent VI maintient ou réduit cet écart ;
  • Lorsqu’un second siège serait attribué à une commune ayant bénéficié d’un seul siège en application du 1° du IV.

Cette répartition peut, par ailleurs, dans le cas des communautés urbaines et des métropoles, porter le nombre de sièges attribués à une commune à plus de la moitié de l’effectif de l’organe délibérant.

Des règles particulières s’appliquent à la Métropole d’Aix-Marseille-Provence.

Au regard de l’ensemble de ces éléments, il apparait indispensable de s’interroger dès aujourd’hui sur l’application de ces règles et les conséquences des éventuelles évolutions des populations ou des périmètres des EPCI sur les équilibres en présence afin de déterminer l’opportunité de rechercher, le cas échéant, un accord local ou à tout le moins un accord sur la création de sièges supplémentaires en application du VI de l’article L. 5211-6-1 du CGCT.

______

[1] Article L. 5211-6-1, VII du CGCT

[2] Article L. 5211-6-1, I, 1° du CGCT

[3] Article L. 5211-6-1, I, 2° du CGCT

[4] Article L. 5211-6-1, VII du CGCT

[5] Article L. 5211-6-1, IV, 1° du CGCT

[6] Article L. 5211-6-1, IV, 2° du CGCT

[7] Article L. 5211-6-1, IV, 3° du CGCT

[8] Article L. 5211-6-1, IV, 4° du CGCT

[9] Article L. 5211-6-1, IV, 5° du CGCT