Présence de SEBAN AVOCATS aux rencontres de Droit et de Procédure Administrative 2023

Julie Cazou, avocate à la Cour, est intervenue à Marseille le vendredi 24 novembre aux rencontres de Droit et de Procédure Administrative 2023 lors d’une table ronde sur le thème :
« Enjeux environnementaux et procédures préalables à l’aménagement »

Julie Cazou
Avocate à la Cour

jcazou@seban-avocat.fr

 

Cette journée a été l’occasion de répondre à la question des objectifs environnementaux et des règlementations en vigueur et d’échanger sur la manière dont les opérations d’aménagement se trouvent contraintes, influencées voire façonnées par ces nouvelles dispositions. Enfin, elle a permis de trouver des solutions d’adaptation des collectivités locales au nouveau cadre juridique.

Présence de SEBAN AVOCATS aux journées des organismes de foncier solidaire

Eglantine Enjalbert, avocat associée et Joanna henri-Luyton, avocate, étaient présentes à la 5ème édition des Journées des organismes de foncier solidaire à Lyon le mardi 21 et mercredi 22 novembre 2023

Eglantine Enjalbert

Avocate associée

eenjalbert@seban-avocat.fr

Joanna Henri-Luyton

Avocate

jhenriluyton@seban-avocat.fr

Ces journées ont été l’occasion de faire le bilan du développement des Organismes de Foncier Solidaire et de la diversité des terrains d’application du Bail Réel Solidaire : vente HLM, montages complexes, zones B2 et C, etc.

Informations sur l’événement :

21 et 22 novembre 2023
Le H7 – 70 Quai Perrache, Lyon

Présence de SEBAN AVOCATS au SIMI du 12 au 14 décembre

Claire-Marie Dubois et Céline Lherminier, avocates associées seront présentes au Salon de l’Immobilier d’Entreprise (SIMI) du 12 au 14 décembre 2023 au Palais des congrès – Paris.

N’hésitez pas à les contacter pour une rencontre !

Claire-Marie Dubois

Avocate associée

cmdubois@seban-avocat.fr 

Céline Lherminier

Avocate associée

clherminier@seban-avocat.fr 

 

Informations sur l’événement : 

Du 12 au 14 décembre 2023
Palais des congrès – Paris
Informations et inscriptions : https://www.salonsimi.com/

Présence d’Emmanuelle Baron lors de la Journée nationale du Réseau des villes contre l’habitat indigne le 13 novembre

Emmanuelle Baron, avocate directrice, interviendra aux côtés d’Adrien Delacroix, Adjoint au Maire de Saint-Denis, Stéphane Pfeiffer, Maire-adjoint de Bordeaux, Stephanie JANKEL, Directrice d’étude à l’Atelier parisien d’Urbanisme et Makarem Léa, Directrice de la SIFAE le lundi 13 novembre de 11h30 à 12h30 lors de la Journée nationale du Réseau des villes contre l’habitat indigne sur le thème :
« Les outils d’urbanisme au service de la prévention et de la dégradation du parc privé : moyens et limites »

Informations sur l’évènement :
L’Usine Té, 379 Av. du Président Wilson, Saint-Denis
Lundi 13 novembre de 9h à 17h30
Organisé par Plaine Commune
https://buff.ly/3soH0CI

Présence de nos avocats au 105ème salon des maires et des collectivités locales du 21 au 23 novembre

Les avocats de Seban Avocats seront présents au salon des maires et des collectivités locales organisé par l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité et Infopro Digital sur le thème : « anticipons demain » du 21 au 23 novembre.

____________________________

Nos avocats présents au salon :

Retrouvez l’ensemble de nos avocats présents sur le congrès et contactez les pour convenir d’une rencontre :


Claire-Marie
Dubois

Avocate associée
Présente le 22 novembre

cmdubois@seban-avocat.fr


Marion
Terraux

Avocate associée
Présente le 21 et le 23 novembre

mterraux@seban-avocat.fr


Marjorie
Abbal

Avocate associée
Présente le 22 novembre

mabbal@seban-avocat.fr


Marlène
Joubier

Avocate associée
Présente le 23 novembre

mjoubier@seban-avocat.fr

Eglantine
Enjalbert

Avocate associée
Présente le 23 novembre

eenjalbert@seban-avocat.fr


Alexandra
Aderno

Avocate associée
Présente le 22 novembre

aaderno@seban-avocat.fr


Tadjdine
Bakari-Baroini

Avocat directeur
Présent le 22 novembre

tbakaribaroini@seban-avocat.fr


Emmanuelle
Baron

Avocate directrice
Présente le 22 novembre

ebaron@seban-avocat.fr


Marianne
Hauton

Avocate directrice
Présente le 22 novembre

mhauton@seban-avocat.fr


Margaux
Davrainville

Avocate directrice
Présente le 22 novembre

mdavrainville@seban-avocat.fr


Julie
Cazou

Avocate à la Cour
Présente le 22 novembre

jcazou@seban-avocat.fr

Informations pratiques sur l’événement :

Porte de Versailles, Paris
Du 21 au 23 novembre 2023
Organisé par l’AMF et infopro Digital
Informations et inscriptions : https://www.salondesmaires.com/

 

__

Retour sur la conférence de presse – Procès Monique Olivier

Vendredi 6 octobre, Eric Mouzin, père d’Estelle Mouzin, Agnès Vourch, Présidente de l’association Estelle, Didier Seban, Marine Allali et Antoine Sauvestre-Vinci, avocats de Seban Avocats, ont tenu une conférence de presse concernant l’approche de l’ouverture du procès de Monique Olivier qui se déroulera du 28 novembre au 22 décembre.

Cette conférence était l’occasion de rappeler le combat mené depuis plusieurs années pour la vérité dans les affaires de Marie-Angèle Domèce, Joanna Parrish et Estelle Mouzin, dont le cabinet représente les familles, les attentes vis-à-vis de ce procès, d’évoquer les espoirs liés à la création du pôle judiciaire dédié aux affaires non élucidées et aux crimes en série mais également de rappeler que ce procès est d’abord celui de Monique Olivier.

Il sera également inévitablement le moment d’évoquer les errements judiciaires et policiers qui font que Michel Fourniret ne sera pas jugé pour ces crimes.

Le procès engagé contre l’Etat, poursuivi pour faute lourde, aura lieu plus tard tant devant le tribunal de Paris que devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
___

Découvrez quelques articles de presse ci-dessous à ce propos

– France 3 Grand-Est :
https://lnkd.in/eey_FNP4

– Ouest-France :
https://lnkd.in/evQXaDNg

– L’Obs :
https://lnkd.in/eTVxZkgb

 

Présence de SEBAN AVOCATS à la Journée de la Rentrée Sociale de l’URIOPSS Ile-de-France

Audrey Lefèvre et Benoit Roseiro, avocats associés et Sara Ben Abdeladhim et Esther Doulain, avocates à la Cour étaient présents lundi 9 octobre à la Journée de rentrée sociale organisée par l’URIOPSS Ile-de-France sur le thème :
« Libérer, Transformer, Innover pour mieux accompagner  »

Cette journée a été consacrée à la transformation des organisations associatives des solidarités et de la santé et a permis de proposer des solutions pour concilier évolutions des besoins et impératifs de gestion en période de crise.

Présence de SEBAN AVOCATS au congrès GAZELEC

Lors du congrès Gazelec, rendez-vous annuel des achats d’électricité et de gaz qui se tiendra du 16 au 18 octobre prochain à Paris, Thomas Rouveyran aura le plaisir d’animer le 18 octobre un atelier aux côtés de Géraldine Proult (ECG Energie Consulting GmbH ) et de Coralie Yoela –(syndicat d’énergie de Seine-et-Marne), ayant pour thématique : « Acheteurs publics : les spécificités contractuelles et adaptation au nouveau contexte marché ».

Didier SEBAN participe au 19ème Congrès des Régions de France

Didier Seban, avocat associé, a été invité pour intervenir au 19ème Congrès des Régions de France ce mercredi 27 septembre lors d’un atelier sur le thème :
« Comment améliorer les conditions d’exercice des mandats locaux ? »

Cet atelier, animé par Eon Frédéric, conseiller parlementaire et juridique de Régions de France, s’est déroulé aux côtés de :

  • Françoise Gatel, sénatrice d’Ille-et-Vilaine, présidente de la Délégation aux collectivités territoriales du Sénat et co-auteure d’une proposition de loi visant à renforcer la sécurité des élus locaux et la protection des maires ;
  • Violette Spillebout, députée du Nord, chargée d’une mission d’information sur le statut de l’élu ;
  • Jean-François Vigier, maire de Bures-sur-Yvette et conseiller régional d’Ile-de-France, auteur d’un rapport sur la décentralisation pour le compte de la Région Ile-de-France.

Organisé par Régions de France et Région Bretagne

Alexandra Aderno, avocate associée, vous présente le guide juridique des mobilités

Alexandra Aderno, avocate associée de Seban Avocats, a le plaisir de vous présenter le guide juridique des mobilités :
« Enjeux et outils pour les collectivités territoriales »

Ce guide a vocation à proposer des analyses de problématiques soumises par les autorités organisatrices de la mobilité. Qu’il s’agisse de l’organisation, de la compétence des autorités publiques, de la planification du service, de son financement, de sa gestion du service mais aussi des services rendus aux usagers, tous les pans des mobilités font ici l’objet d’une analyse juridique.

Les avantages de l’ouvrage :
Tous les pans du service public de la mobilité sont abordés sous l’angle juridique ;
Ce guide offre une vision actuelle, au regard des derniers textes législatifs, du service public de la mobilité.

Parution : Territorial éditions
‍Rédaction : Alexandra Aderno, avocate associée

https://boutique.territorial.fr/pub/media/catalog/product/cache/440a4c0a020c63c16706643669e49b5b/9/1/915atde.jpg

 

SEBAN AVOCATS présent au congrès HLM

Didier SEBAN, Thomas ROUVEYRAN, Anne-Christine FARÇAT, Benoit ROSEIRO et Eglantine ENJALBERT, avocats associés et Joanna HENRI-LUYTON, avocate étaient présents au 83ème Congrès de l’Union Sociale pour l’Habitat qui s’est tenu du 3 au 5 octobre 2023 à Nantes sur le thème :

« Toutes nos énergies pour le logement »

Didier SEBAN :

dseban@seban-avocat.fr

Thomas ROUVEYRAN :

trouveyran@seban-avocat.fr

Anne-Christine FARÇAT :

acfarcat@seban-avocat.fr

Benoit ROSEIRO:

broseiro@seban-avocat.fr

Eglantine ENJALBERT :

eenjalbert@seban-avocat.fr

Joanna HENRI-LUYTON :

jhenriluyton@seban-avocat.fr

 

 

Agrandissement des équipes

Les équipes de SEBAN AVOCATS se sont agrandies ce mois-ci avec de nouvelles arrivées !

Nous souhaitons la bienvenue à :

Sanae MOUSSAOUI, avocate qui rejoint l’équipe droit des sociétés d’Anne-Christine FARCAT ;
Yousra JULIÉ, avocate qui rejoint l’équipe droit social de Benoît ROSEIRO ;
Marion DUNK, juriste qui rejoint l’équipe urbanisme, aménagement et foncier de Céline LHERMINIER ;
Iris Smadja, stagiaire qui rejoint l’équipe droit pénal de Didier SEBAN.

 

Vous souhaitez rejoindre l’aventure Seban ? N’hésitez pas à consulter régulièrement nos offres d’emploi, de stage et de collaboration :

Référent déontologue ou avocat de la collectivité : il faut choisir

Depuis le 1er juin 2023, tout élu local doit pouvoir consulter un référent déontologue chargé de lui apporter tout conseil utile (Article L. 1111-1-1 du CGCT et décret n° 2022-1520 en date du 6 décembre 2022 relatif au référent déontologue de l’élu local).

La tâche ne s’est pas avérée aisée pour les collectivités territoriales chargées de désigner ce référent déontologue compte tenu des qualités et caractéristiques que ce dernier doit recouvrer. En premier lieu desquelles, on retrouve l’impartialité et l’indépendance, paraissant ainsi écarter de fait les avocats des collectivités territoriales concernées. La DGCL s’inscrivait déjà dans cette voix en parlant de condition d’extériorité à la collectivité pour être désigné référent déontologue et visait expressément, à titre d’exemple, l’avocat de la collectivité comme pouvant être en situation de conflit d’intérêts avec elle (en savoir plus ici).

Ce que vient de confirmer le ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer en indiquant que le lien existant entre la collectivité et l’avocat régulièrement employé par elle fait obstacle à sa désignation comme référent déontologue (en savoir plus ici).

Entre référent déontologue et avocat d’une collectivité territoriale, il faut donc choisir.

Le port de l’abaya reste bien interdit dans les établissements scolaires : le Conseil d’Etat a rejeté le référé-liberté dirigé contre la note de service du 31 août 2023

Par une ordonnance très attendue, publiée ce jeudi 7 septembre à 18 heures (n°487891), le Conseil d’Etat a rejeté le référé-liberté introduit principalement par l’Association Action Droits des musulmans et tendant à la suspension de la décision d’interdiction de l’abaya issue d’une déclaration du 27 août 2023, d’une note de service du 31 août 2023 et d’une lettre aux parents du 31 août 2023.

Plus précisément, l’Association se prévalait de ce que cette décision était manifestement illégale et portait une atteinte grave à plusieurs libertés fondamentales, soit le droit au respect de la vie privée et familiale, la liberté de culte, le droit à l’éducation et l’intérêt supérieur de l’enfant ainsi que le principe de non-discrimination.

La démonstration et l’articulation entre les différentes libertés que l’Association estimait atteintes se trouvait néanmoins délicate, dès lors qu’il est pour le moins malaisé de faire valoir, à la fois, l’incapacité pour le gouvernement de fonder cette interdiction sur les dispositions de l’article L. 141-5-1 du code de l’éducation qui prohibe dans les établissements scolaires le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse, et une atteinte à la liberté de culte.

On conviendra, en effet, qu’il est complexe de défendre qu’il ne s’agît pas d’un signe religieux tout en revendiquant le droit de le porter au nom de la liberté de culte.

En tout état de cause, il sera retenu de l’ordonnance du Conseil d’Etat de ce jeudi 7 septembre que celui-ci est venu écarter toute illégalité manifeste de la décision querellée en considérant, en ces termes, que :

« le port de ce type de vêtements [soit les abayas et le qamis], qui ne peuvent être regardés comme étant discrets, constitue une manifestation ostensible de l’appartenance religieuse des élèves concernés méconnaissant l’interdiction posée par les dispositions de l’article L. 145-5-1 du code de l’éducation ».

Pour ce faire, le juge des référés du Conseil d’Etat rappelle au préalable, au sein de sa décision, que :

« le port de ces vêtements s’accompagne en général, notamment au cours du dialogue engagé, en application des dispositions législatives précitées, avec les élèves faisant le choix de les porter, d’un discours mettant en avant des motifs liés à la pratique religieuse ».

Par ailleurs, si, pour certains, l’abaya et le qamis ne peuvent être considérés comme des vêtements proprement religieux, il sera observé que la Haute juridiction a pris soin de souligner que « le choix de ces tenues vestimentaires s’inscrit dans une logique d’affirmation religieuse », ainsi que cela ressort notamment des propos tenus au cours des dialogues engagés avec les élèves.

Il sera encore noté que le Conseil d’Etat a entendu se prononcer sur l’absence d’illégalité manifeste de la décision contestée, en exprimant une position parfaitement claire sur sa légalité en l’état actuel du droit, au regard notamment des dispositions du code de l’éducation.

Dès lors, il est permis de gager qu’un recours pour excès de pouvoir dirigé contre la décision contestée, ou l’invocation d’une exception d’illégalité à l’occasion d’un recours introduit contre une mesure disciplinaire prise en application de cette décision, ne rencontreraient pas plus de succès auprès du juge administratif.

De plus, si à l’occasion d’un tel contentieux, une question prioritaire de constitutionnalité était soulevée à l’encontre des dispositions de l’article L. 145-5-1 du code de l’éducation – comme semblent le suggérer certains responsables politiques –, son aboutissement nous semble également compromis.

Il est constant, en effet, que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a déjà reconnu la conventionnalité de ces dispositions légales dans un arrêt Ghazal c. France du 30 juin 2009 (n° 29134/08), de sorte que l’on envisage difficilement une prise de position inverse du Conseil Constitutionnel.

Reste que la détermination de l’Association, de certains députés et de plusieurs élèves porteurs de ce type de vêtements augure néanmoins des suites contentieuses largement probables.

Agrandissement des équipes

Pour bien commencer la rentrée de septembre 2023, les équipes de SEBAN AVOCATS se sont agrandies ce mois-ci avec de nouvelles arrivées :

Nous souhaitons la bienvenue à :

Marie GAUTIER, avocate qui rejoint l’équipe urbanisme, aménagement, foncier de Céline LHERMINIER ;
Chloé BRENDEL, avocate qui rejoint l’équipe fonction publique de Lorène CARRERE ;
Alice ZARKA, juriste qui rejoint l’équipe droit pénal et de la presse de Matthieu HÉNON ;
Lamiaa HMAMI, juriste qui rejoint l’équipe administrative dans le service appels d’offres de Marie-Claire DUBOIS ;
Fathi CHABAN qui rejoint l’équipe administrative emmenée par Anne DEGANIS, secrétaire générale et aux côtés de Jane GAUTHERON, Nathalie HAENEL, Valérie DE ALMEIDA, Véronique VALLEE et Julie PANOU, assistantes juridiques.

 

Vous souhaitez rejoindre l’aventure Seban ? N’hésitez pas à consulter régulièrement nos offres d’emploi, de stage et de collaboration :

C’est la rentrée des formations !

La rentrée des classes est maintenant dans quelques jours et notre département Formations fait également sa rentrée ! Dès le 5 septembre découvrez nos nouvelles formations :

Deuxième session – Mieux rédiger ses conventions d’occupation domaniale : clauses innovantes & bonnes pratiques

Thomas Manhès, avocat associé de SEBAN ARMORIQUE, vous propose cette formation en ligne le 5 septembre de 9h30 à 11h (heure métropolitaine), 190 € par participant.


Télérecours : découvrir, se l’approprier, approfondir

Thomas Manhès, avocat associé de SEBAN ARMORIQUE, vous propose cette formation en ligne le 12 septembre de 9h30 à 11h30 (heure métropolitaine), 200 € par participant.


Autorisation d’ESSMS et de LVA : demande, refus, cession et retrait

Esther Doulain, avocate à la Cour, vous propose cette formation en ligne le 21 septembre de 9h30 à 12h30(heure métropolitaine), 450 €  par participant.


Les outils pénaux face aux problématiques environnementales

Marlène Joubier, avocate associée, vous propose cette formation en ligne le 26 septembre de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


Le droit de préemption, phase administrative et phase judiciaire : les bons réflexes et points d’actualités

Tadjdine Bakari-Baroini, avocat directeur et Pierre Laffitte et Florianne Herpin, avocats à la Cour vous proposent cette formation en ligne le 28 septembre de 9h30 à 12h30 (heure métropolitaine), 450 €  par participant.


Octroyer ou refuser la protection fonctionnelle

Marjorie Abbal, avocate associée, vous propose cette formation en ligne le 3 octobre de 9h30 à 11h30 (heure métropolitaine), 300 €  par participant.


Prévenir les risques administratifs et pénaux dans les marchés publics avant la notification du marché : comment y remédier

Elisabeth Fernandez-Bégault, avocate associée de SEBAN OCCITANIE et Romain Denilauler, avocat à la Cour, vous proposent cette formation en ligne le 5 octobre de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


Passation et exécution d’un marché public du spectacle vivant

Guillaume Gauch, avocat associé, Samuel Couvreur, avocat directeur et Alice Larmet, avocate à la Cour vous proposent cette formation en ligne le 10 octobre de 9h30 à 13h (heure métropolitaine), 600 €  par participant.


Accompagner le développement économique de son territoire : identifier et octroyer des aides économiques

Victoria Goachet, avocate à la Cour, vous propose cette formation en ligne le 12 octobre de 9h30 à 12h30 (heure métropolitaine), 400 €  par participant.


La gestion des baignades par les acteurs publics : comment préparer au mieux la prochaine saison estivale ?

Clémence Du Rostu, avocate directrice, Julie Cazou, avocate à la Cour de SEBAN AVOCATS et Faustine Briot, directrice de Espelia vous proposent une formation en ligne le 17 octobre de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


La prise en charge des dossiers criminels complexes (crimes de sang non-élucidés, crimes sériels et disparitions inquiétantes)

Marine Allali, avocate directrice, Antoine Sauvestre-Vinci, avocat à la Cour et Olivier Le Gall vous proposent une formation en ligne le 7 novembre 2023 de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


Crèches de Noël, croix, statues : quelles limites dans l’espace public ?

Thomas Manhès, avocat associé de SEBAN ARMORIQUE, vous propose une formation en ligne le 14 novembre de 9h30 à 11h30 (heure métropolitaine), 250 €  par participant.


Rapprochements des associations : mutualisation, fusion, apport partiel d’actifs, regroupement

Audrey Lefèvre, avocate associée et Sara Abdeladhim, avocate à la Cour, vous proposent une formation en ligne le 16 novembre 2023 de 9h30 à 12h30 (heure métropolitaine), 450 €  par participant.


Gouvernance des ESH

Anne-Christine Farçat, avocate associée, vous propose une formation en ligne le 21 novembre 2023 de 9h30 à 12h30 (heure métropolitaine), 450 €  par participant.


Stratégie et optimisation de la négociation collective

Benoît Roseiro, avocat associé, vous propose une formation en ligne le 23 novembre 2023 de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


Le droit pénal au service de la lutte contre l’habitat indigne

Marlène Joubier, avocate associée, vous propose une formation en ligne le 28 novembre 2023 de 9h30 à 12h (heure métropolitaine), 375 €  par participant.


Mise en concurrence des conventions « domaniales »

Alexandre Vandepoorter, avocat associé et Gaëlle Collin, avocate à la Cour, vous proposent une formation en ligne le 30 novembre 2023 de 9h30 à 12h30 (heure métropolitaine), 450 €  par participant.


Réussir la procédure disciplinaire du fonctionnaire

Marjorie Abbal, avocate associée, vous propose une formation en ligne le 12 décembre 2023 de 9h30 à 11h30 (heure métropolitaine), 300 €  par participant.

 

 

 

Si vous souhaitez vous inscrire à l’une de ses formations, n’hésitez pas à contacter Mélanie Marchand : formation@seban-avocat.fr

ou en cliquant directement ici :

 

Reconstructions post-émeutes : le droit de la commande publique assoupli pendant les 9 prochains mois

A la suite des émeutes urbaines survenues entre le 27 juin et le 5 juillet 2023, l’Etat a décidé de mettre en œuvre des mesures afin d’accélérer et faciliter les opérations de reconstruction ou de réfection des équipements publics et des bâtiment dégradés ou détruits durant ces troubles, notamment en matière de commande publique.

Rappel des dispositifs existants par le circulaire du 5 juillet 2023

Dans un premier temps, la Première ministre a, par une circulaire du 5 juillet 2023, rappelé les dispositifs existants pouvant d’ores et déjà être mobilisés par les acheteurs publics afin de conclure des marchés de travaux sans publicité ni mise en concurrence préalables :

  • L’urgence impérieuse: aux termes de l’article R. 2122-1 du Code de la commande publique (CCP), un acheteur peut passer un marché sans publicité ni mise en concurrence préalables lorsqu’une urgence impérieuse résultant de circonstances extérieures et qu’il ne pouvait pas prévoir ne permet pas de respecter les délais minimaux exigés par les procédures formalisées.

Le marché peut alors être conclu de gré à gré quel qu’en soit le montant mais doit être limité aux prestations strictement nécessaires pour faire face à la situation d’urgence.

Comme le rappelle la circulaire du 5 juillet 2023, cette urgence impérieuse s’apprécie au cas par cas et les travaux faisant l’objet de tels marchés doivent être limités à l’objectif de garantir la sécurité des biens et des personnes ou de rétablir la continuité du service public en faisant les réparations nécessitées par les dégradations.

Concrètement, ce dispositif peut être utilisé pour faire réaliser des réparations urgentes d’une partie du bâtiment endommagé (vitrages, portes et murs ainsi que le second œuvre nécessaire au bon fonctionnement des ouvrages) ou, en cas de dégradation de l’ensemble du bâtiment, notamment du fait d’un incendie, et si le foncier disponible aux alentours le permet, en l’installation de préfabriqués sommaires pour permettre aux services publics abrités par le bâtiment inutilisable de pouvoir fonctionner normalement.

  • Les marchés de travaux inférieurs à 100.000 € HT: aux termes de l’article 6 du décret n° 2022-1683 du 28 décembre 2022, les acheteurs peuvent conclure un marché de travaux sans publicité ni mise en concurrence préalables pour répondre à un besoin dont la valeur estimée est inférieure à 100.000 € HT.

Peuvent également être attribués de gré à gré les lots qui portent sur des travaux dont le montant est inférieur à 100.000 € HT, à la condition que le montant cumulé de ces lots n’excède pas 20 % de la valeur totale estimée de tous les lots

Ce dispositif peut être utilisé même en l’absence d’urgence impérieuse.

En revanche, il ne sera en vigueur que jusqu’au 31 décembre 2024.

Création de nouveaux assouplissements par l’ordonnance du 26 juillet 2023

Constatant que les deux dispositifs précités ne pouvaient être utilisés pour l’ensemble des travaux nécessaires à la réfection ou la reconstruction des ouvrages touchés par les émeutes, le Gouvernement a – après y avoir été habilité par la loi n° 2023-656 du 25 juillet 2023 – introduit par l’ordonnance n° 2023-660 du 26 juillet 2023 des assouplissements au droit de la commande publique sur trois points :

  • Possibilité de conclure les marchés de travaux concernés inférieurs à 1.500.000 € HT sans publicité préalable. Il en va de même pour les lots dont le montant est inférieur à 1.000.000 € HT, à la condition que le montant cumulé de ces lots n’excède pas 20 % de la valeur totale estimée de tous les lots.

Un acheteur n’aura ainsi pas à procéder à la publication d’un avis d’appel public à la concurrence.

Pour autant, il demeurera tenu de mettre en place une mise en concurrence préalable, dans le respect des principes fondamentaux de la commande publique, notamment l’égalité de traitement des candidats mais aussi l’exigence constitutionnelle de bon usage des deniers publics. Cette mise en concurrence pourra prendre la forme d’une demande de devis adressée à au moins deux entreprises.

Par conséquent et ainsi que le souligne la Direction des affaires juridiques des ministères économique et financier dans sa fiche dédiée à cette nouvelle ordonnance, l’acheteur recourant à ce dispositif devra veiller à conserver tout document permettant de justifier, d’une part, que toutes les conditions posées par l’ordonnance étaient réunies et, d’autre part, la régularité de la mise en concurrence. En outre, les obligations de conservation des données essentielles du marché listées à l’article L. 2196-2 du Code de la commande publique devront être respectées.

  • Possibilité de déroger à l’obligation d’allotissement, quel que soit le montant du marché.

Un acheteur pourra ainsi conclure un marché de reconstruction ou de réhabilitation d’un équipement public ou d’un bâtiment affecté par les émeutes en un lot unique, sans avoir à justifier qu’il se trouve dans une des situations prévues à l’article L. 2113-11 du Code de la commande publique (impossibilité d’assurer par eux-mêmes les missions d’organisation, de pilotage et de coordination, hypothèse où la dévolution en lots séparés restreindrait la concurrence ou risquerait de rendre techniquement difficile ou financièrement plus coûteuse l’exécution des prestations).

Ainsi que le souligne la DAJ à titre d’illustration, ce dispositif permettra, pour des travaux de voiries, de rassembler au sein d’un même marché le terrassement, les travaux d’enrobés, le marquage et la signalisation ; pour des travaux portant sur un bâtiment, il sera possible d’attribuer à une entreprise générale de construction un marché unique englobant des travaux de maçonnerie, d’électricité, de plomberie, de charpente, de peinture, de revêtements de sols, de menuiserie, etc.

  • Possibilité de conclure un marché de conception-réalisation sans condition et quel que soit le montant du marché.

Pour rappel, les missions de conception assurées par un maître d’œuvre doivent, en principe, être séparées des missions d’exécution de travaux, ainsi qu’en dispose l’article L. 2431-1 du Code de la commande publique

Par exception à ce principe, l’article L. 2171-2 prévoit la possibilité de conclure un marché global rassemblant la conception et la réalisation lorsque des motifs d’ordre technique ou un engagement contractuel portant sur l’amélioration de l’efficacité énergétique ou la construction d’un bâtiment neuf dépassant la réglementation thermique en vigueur rendent nécessaire l’association de l’entrepreneur aux études de l’ouvrage.

Par l’effet de l’article 3 de l’ordonnance du 23 juin 2023, les acheteurs pourront conclure de tels marchés de conception-réalisation pour la reconstruction ou la réhabilitation d’un équipement public ou d’un bâtiment affecté par les émeutes sans avoir à justifier le respect des conditions précitées.

Un tel outil contractuel pourra s’avérer adapté notamment pour des opérations complexes.

Pour autant, l’acheteur recourant à ce dispositif demeurera tenu de respecter l’obligation d’identifier une équipe de maîtrise d’œuvre prévue à l’article L. 2171-7 et d’imposer au titulaire de confier une part de son exécution à des petites et moyennes entreprises ou à des artisans, ainsi que l’impose l’article L. 2171-7 du CCP, ainsi que le souligne la DAJ.

Point de vigilance : les trois assouplissements précités sont strictement limités dans leur champ d’application temporel et matériel :

  • Champ d’application temporel : ils ne sont applicables qu’aux marchés pour lesquels une consultation est engagée ou un avis de publicité est envoyé à la publication entre le 28 juillet 2023 et le 28 avril 2024 inclus ;
  • Champ d’application matériel : ils ne sont applicables qu’aux marchés ayant pour objet la reconstruction ou à la réfection des équipements publics et des bâtiments affectés par des dégradations ou destructions liées aux troubles à l’ordre et à la sécurité publics survenus entre le 27 juin et le 5 juillet 2023.

A cet égard, la DAJ précise que les « équipements publics » s’entendent comme les ouvrages relevant des compétences normales d’une collectivité publique et destinés à l’usage ou au bénéfice du public (voierie, les réseaux, les abribus, les équipements sportifs ou culturels, etc.) ; quant aux « bâtiments », il peut s’agir des mairies, des commissariats, des écoles, des médiathèques ou de tout autre bâtiment dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par un acheteur soumis au Code de la commande publique, que son statut soit d’ailleurs public ou privé (notamment les immeubles HLM).

Les acheteurs devront donc être vigilants à ne pas recourir aux dispositions de cette ordonnance pour des opérations de travaux n’entrant pas dans ce champ d’application temporel et matériel.

Salon Terres et Maires

Très engagés auprès des collectivités, Thomas MANHES et Camille TREHEUX, avocats associés de SEBAN ARMORIQUE et Clémence du ROSTU, avocate directrice de SEBAN AVOCATS, étaient présents le jeudi 6 juillet au salon Terres & Maires, le salon des communes et des intercommunalités d’Ille-et-Vilaine à Rennes au parc expo, au stand du barreau.
Ce salon a été un moment exceptionnel d’échanges entre les acteurs des collectivités et l’ensemble de leurs partenaires : institutionnels, entreprises, associations et toute autre organisation.

Certification DPO

Nous sommes très heureux de vous annoncer qu’Elise Humbert, avocate directrice et David Conerardy, avocat senior ont renouvelé leur certification des compétences de délégué à la protection des données (DPO) !

Ils continuent ainsi d’accompagner les collectivités dans le maintien de leur conformité au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).
Nos avocats sont, depuis de nombreuses années déjà, investis à vos côtés pour vous conseiller sur toutes vos problématiques juridiques. Les délégués à la protection des données vous accompagnent, vous conseillent et sont vos interlocuteurs privilégiés pour les questions relatives à la protection des données personnelles et ils coopèrent étroitement avec la CNIL dans ce cadre.

 

Elise Humbert,
Avocate directrice

Certifiée DPO

David Conerardy,
Avocat à la Cour

Certifié DPO

 

Mobilisation civique contre les violences

Impliquée auprès des collectivités dans toute la France, une délégation de Seban Avocats était présente ce midi devant l’Hôtel de ville de Paris en solidarité avec les élus et agents des collectivités. Elle répondait à l’appel de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité.

Engagés quotidiennement auprès des acteurs publics et des collectivités, nos avocats ont ainsi manifesté leur soutien aux élus et collectivités victimes des destructions et agressions.
Étaient présents Didier SSEBAN, Thomas ROUVEYRAN, Claire-Marie DUBOIS-SPAENLE, Céline LHERMINIER, Alexandra ADERNO, avocats associés et Romain MILLARD et Thomas CHEVANDIER, avocats à la Cour.